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Le blog de l'association Kids of Evolution

20 mars 2008

Black Gold, un marché au goût amer

Black Gold est un film documentaire percutant produit par Nick et Marc Francis qui invite les consommateurs de café à « penser avant de boire ».

Les défaillances du marché mondial du café qui vaut aujourd’hui plus de 80 milliards de dollars mais reste concentré dans les mains de seulement quelques multinationales (Kraft, Nestlé, Procter & Gamble, Sara Lee, Starbucks) n’offrant aux producteurs que le choix d’une transaction inéquitable sont clairement mises à jour. Alors que les consommateurs paient le prix fort pour leurs cafés et divers cappuccinos, le prix d’achat du kilo de grains verts payé aux producteurs reste si bas (environ un millième du prix de vente de la tasse) que ceux-ci sont condamnés à vivre dans des conditions d’extrême pauvreté (malnutrition, écoles vides quand elles existent dans la communauté, migration forcée etc.…).

La situation est à son paroxysme en Ethiopie, mère patrie du café : certains producteurs en viennent à remplacer cette culture traditionnelle par celle du « chat » (un narcotique puissant interdit en Europe) qui malheureusement leur est plus rentable, ou même à abandonner leurs parcelles. Black Gold nous invite en effet à suivre le combat de Tadesse Meskela, responsable de la coopérative Oromia Coffee Farmers Co-operative Union, qui représente plus de 74000 paysans en Ethiopie. Tadesse tente de trouver des acheteurs en dehors du circuit commercial conventionnel, qui seraient prêts à payer un bon prix pour son café de très bonne qualité, une solution de développement à long terme pour les familles de sa coopérative. Cependant, ses voyages à Seattle et à Londres en trame de fonds mettent bien en évidence les abus de pouvoirs écrasants contre lesquels Tadesse devra faire face afin de trouver une solution à long terme pour ses producteurs : une Bourse New-yorkaise des matières premières déconnectée des réalités, des ministres adoptant un double langage lors des conférences de l’OMC, et des multinationales affichant des soit disant  labels Fair trade sur un café qui n’en a pas l’éthique.

Un film à voir et à recommander vivement : www.blackgoldmovie.com

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6 mars 2008

Le Marché de la Faim

Pourquoi mange-t-on des fruits et légumes hors saison ? Comment la pêche industrielle affecte-t-elle la qualité des poissons qui nous sont vendus ? Pourquoi des denrées alimentaires parcourent-elles des milliers de kilomètres pour parvenir sur nos marchés ?

C’est à ces questions pour le moins dérangeantes que se confronte Erwin Wagenhofer, réalisateur du documentaire « We Feed the World (le marché de la faim) ». En voyageant aux quatre coins du monde et en interrogeant différents acteurs de la filière agroalimentaire, We feed the world met en évidence les absurdités et les gâchis de la production, la distribution et la consommation des produits alimentaires à travers le monde.

Les exemples s’enchaînent sans perdre de leur perspicacité. La quantité de pain inutilisée chaque jour à Vienne est totalement détruite alors qu’elle pourrait nourrir la seconde plus grande ville d'Autriche. Plusieurs centaines de milliers d’hectares de terres agricoles, au Brésil notamment, sont employés à la culture du soja destiné à la nourriture du bétail des pays Européens alors qu’environ 25% de la population de ces pays souffre de malnutrition chronique. La région d’Alméria produit 10 kg de légumes par Européen et par an, irrigués complètement artificiellement, alors que le Sud de l’Espagne souffre d’importantes pénuries d'eau. En Roumanie, en raison de coûts de production peu élevés, l'agriculture s'est convertie rapidement de façon massive aux OGM. Face à ces invraisemblances, la Politique Agricole Commune ne propose que des solutions inappropriées, où le pouvoir des multinationales semblent être privilégié, et le travail ainsi que le savoir-faire des acteurs traditionnels subtilisés.

Jean Ziegler, rapporteur auprès de l’ONU sur le Droit à l’alimentation, résume l’étendue des dégâts sans mâcher ses mots : « Etant donné l’état actuel de l’agriculture dans le monde, on sait qu’elle pourrait nourrir 12 milliards d’individus sans difficultés. Pour le dire autrement : tout enfant qui meurt actuellement de faim est, en réalité assassiné ».

Mais, Peter Brabeck, PDG de Nestlé, a une réponse toute faite à cela : "L'eau est une denrée alimentaire. Et comme toute denrée, elle a une valeur marchande."
Et encore ce n'est pas la formule qui nous a le plus déconcertée. A vous de juger : http://www.we-feed-the-world.fr/

27 février 2008

Réduisez votre empreinte écologique en vous facilitant la tache ;)

KOE vous présente aujourd’hui une nouvelle astuce pour un quotidien plus écologique et économique, des "boules magiques" pour soigner votre linge.

Les détergents, agents de blanchiment et divers phosphates contenus dans les lessives chimiques que nous utilisons tous sont une grande source de dangers pour l’environnement : pollution des nappes phréatiques, des cours d’eau, des mers… Les tensioactifs, une fois rejetés dans ces eaux, attaquent les membranes des cellules des organismes aquatiques et perturbent leurs échanges avec le milieu, causant la mort de poissons et d’algues.

3ballsinwashLes boules de lavage apporte à ce problème une solution efficace, puisqu’elle supprime la nécessite d’utiliser des lessives chimiques. Une solution qui est en réalité bien plus scientifique que magique. Les billes de nano céramique contenus à l’intérieur des boules de lavages contribuent en effet à la rupture des liaisons hydrogène de la molécule d’eau et permet d’en augmenter le mouvement moléculaire. Cette action procure à l’eau une grande capacité de pénétration, et augmente son pouvoir lavant. Certains pourtant voudront continuer à utiliser leurs lessives traditionnelles, croyant qu’elles seules garantissent le fameux plus blanc que blanc. Nous leur suggèreront alors de simplement réduire les quantités car l'élimination de la saleté est la même lorsqu'on emploie 100% de détergent ou 15% de détergent plus les boules de lavage. A noter qu’en plus d’être écologiques, les boules de lavage sont une solution économique. Vous trouverez des lots de 3 boules de lavage pour 25 à 35 €, et celles-ci vous serviront pour environ 1000 lessives (sur la base d’une machine moyenne de 4 kg de linge). Les paresseux seront eux aussi ravis, la rumeur court que le repassage serait même facilité.
dryerballsnewlrApres avoir choyé votre lave linge, vous pourrez aussi réduire l’impact écologique de votre sèche linge.
Les boules adoucissantes possèdent une ergonomie particulière qui leur permet de tourner dans le sèche linge de manière à soulever et à séparer le linge, et de faire ainsi passer l’air chaud entre chaque vêtement de manière efficace. Le séchage dure moins longtemps, et l’on économise environ 30% d’énergie.

16 février 2008

Commerce Equitable, un concept, des définitions

Commerce Equitable. Le concept est de plus en plus utilisé, repris, galvaudé. Il envahit aussi bien nos supermarchés que nos journaux et nos radios. Un retour aux sources s’impose : quelle définition pour le Commerce Equitable?

banderoleLa définition qui fait aujourd’hui office de référence au niveau international a été développée par quatre organisations représentatives du mouvement du commerce équitable : l’organisme de labellisation du commerce équitable (FLO), la fédération internationale du commerce Alternatif (IFAT), le réseau européen des magasins du monde (NEWS !), ainsi que l’association européenne du commerce équitable (EFTA). En 2001, il ressort du «consensus FINE» (des initiales des ces 4 organisations) la définition suivante : « Le commerce équitable est un partenariat commercial fondé sur le dialogue, la transparence et le respect, dont l’objectif est de parvenir à une plus grande équité dans le commerce mondial. Il contribue au développement durable en offrant de meilleures conditions commerciales et en garantissant les droits des producteurs et des travailleurs marginalisés, tout particulièrement au Sud de la planète. Les organisations du commerce équitable (soutenues par les consommateurs) s’engagent activement à soutenir les producteurs, à sensibiliser l’opinion et à mener campagne en faveur de changements dans les règles et pratiques du commerce international conventionnel».

Cette définition a été communément acceptée sans pour autant faire l’unanimité. L’association française Minga, qui regroupe une centaine de structures commerciales alternatives, dénonce en effet l’approche de FINE qui selon elle se cantonne dans un positionnement caritatif voire néocolonialiste. Elle explique en effet dans son cahier des charges que « L’exigence d’équité dans le travail comme dans les transactions commerciales […] ne peut pas être limitée historiquement, ni géographiquement ni se restreindre à quelques acteurs (ex : producteurs/consommateurs). »

Toujours en France, les pouvoirs publics se sont aussi penchés sur la question. La loi du 2 août 2005 en faveur des PME a défini à son article 60 le commerce équitable : "Au sein des activités du commerce, de l'artisanat et des services, le commerce équitable organise des échanges de biens et de services entre des pays développés et des producteurs désavantagés situés dans des pays en développement. Ce commerce vise à l'établissement de relations durables ayant pour effet d'assurer le progrès économique et social de ces producteurs. " Une définition légale a été plus que bienvenue, donnant encore plus de crédit a l’essor de ce mouvement. Cependant, cette définition réserve la dénomination de commerce équitable aux seuls échanges nord-sud et cette stricte exclusion des dimensions Nord-Nord et Sud-Sud a provoqué de nombreuses réactions négatives chez les acteurs du mouvement.

L’Organisation Internationale de la Normalisation (ISO) planche elle aussi actuellement sur la question, et doit communiquer d’ici l’an prochain une définition, qui devrait a son tour relancer le débat…

Mais plutôt que de se perdre dans une course folle à la définition parfaite, il est intéressant de s’interroger simplement sur les grands principes du Commerce Equitable.
Chez KOE, nous aimons l’idee que l
e commerce équitable consiste avant tout à mettre en place une relation privilégiée avec la partie prenante, notamment (mais pas exclusivement) les producteurs des pays en développement fortement désavantagés voire exclus des circuits du commerce international. Ce partenariat a pour objectif d’accompagner cette partie prenante dans son développement en garantissant un revenu minimum, des conditions de travail décentes, et en favorisant le développement à long terme des communautés ou se trouvent les centres de production.

On retrouve bien la synthèse de cette approche dans "Les trois principes du commerce équitable", un texte de référence établi par la Commission Afnor en 2006 :

  1. Equilibre de la relation commerciale:prix minimum équitable pour le producteur, respect des droits sociaux et environnementaux, pérennisation de la relation commerciale...

  2. Accompagnement des organisations de producteurs et de travailleurs: l'accord précise que " le commerce équitable agit au bénéfice des producteurs désavantagés et des travailleurs ainsi que de leur famille, dans les pays en développement.

  3. Information et sensibilisation du consommateur: c'est-à-dire du client et plus globalement du public, au commerce équitable.

Et vous, qu'en pensez-vous?

Sources : Altermondes hors serie 3, www.minga.fr, www,pme.gouv.fr, www.novethic.fr

6 février 2008

Une première édition qui ouvre bien des horizons !


Flyer_FrancaisCe week-end s’est déroulé à Villeurbanes dans la banlieue Lyonnaise le premier Salon Européen du Commerce Equitable, et l’équipe KoE était bien entendu présente. Cet événement a été organisé par Equi’sol, association créée en 1996 afin de promouvoir les systèmes fiables de commerce équitable. Equi’sol consacre toutes ses actions à l’animation et au développement des filières de commerce équitable, ainsi qu’à la formation, la sensibilisation et l’éducation de tous les publics. Et c’est un  joli bouquet qu’ Equi’sol a assemblé pour le plaisir de chacun :  plus de 200 exposants venus de toute l’Europe, les poches remplies de produits divers (alimentaires, artisanaux, textiles, cosmétiques etc…), mais aussi des acteurs de la sensibilisation au concept ainsi que des organisations de développement au Sud, tout cela dans une ambiance détendue et chaleureuse.
Ce fut pour nous une occasion unique de découvrir les différents acteurs impliqués à la fois dans les filières « vendeurs » et « éducateurs », de nouer un premier contact avec eux et même de déguster quelques uns de leurs excellents produits !

Nous avons été très séduits par cette première édition, et si vous n’avez malheureusement pas pu vous y rendre, nous vous conseillons vivement de booker vos agendas pour l’an prochain…


A noter que les comptes-rendus des différentes tables rondes et conférences seront bientôt en ligne sur le site : www.salon-europeen-commerce-equitable.org


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28 janvier 2008

Une voiture qui ne manque pas d'air !

Un véhicule aérivore, voilà le projet sur lequel Guy Nègre et son fils, deux ingénieurs de la compagnie Moteur Développement International basée à Carros près de Nice dans le Sud de la France, travaillent depuis maintenant une quinzaine d’années.
aircar

Plus d’essence pour créer l’explosion permettant de faire bouger les pistons, mais de l’air comprimé (comme dans les bouteilles de plongée sous marine...). Ainsi, il n’y a pas combustion, et ce qui sort du tuyau d’échappement est de l’air pur, et froid (qui peut donc servir pour climatiser la voiture…). Zéro pollution donc, pour un véhicule urbain capable d’aller jusqu’à 110km/h pour une autonomie de 200 à 300km. Pour se réapprovisionner, c’est assez simple : trois minutes dans une station pour refaire sa réserve d’air comprimé ou quelques heures dans son garage via un mini-compresseur d’air intégré. En ce qui concerne la carrosserie, la coque est réalisée grâce a diverses résines associées à de la fibre de carbone. Ces matières plastiques sont recyclables, et même si la fibre en elle-même ne l’est pas, on s’aperçoit vite qu’il est préférable d'utiliser le pétrole comme matière première que comme carburant : avec 100 kg de fibre de carbone une voiture à air comprimé peut effectuer entre 1 et 2 millions de kilomètres alors qu'une voiture à essence a besoin de 1000 fois plus de pétrole pour parcourir la meme distance…

Apres avoir essuyé pendant des années les rires moqueurs des grands constructeurs automobiles francais, MDI a récemment signé une entente avec Tata Motors, le premier constructeur automobile en Inde. Contre un chèque de 20 millions d'euros, un contrat de transfert de technologie permet aux Indiens d'utiliser dans leur pays le moteur à air comprimé, fabriqué chez eux dans les micro usines imaginées par Guy Nègre. Différents modèles existent déjà : véhicule taxi, camionnette, fourgonnette…

Ca laisse réveur...! Imaginons un monde où la plupart des grandes villes se serviraient de ce type de véhicules... Reste à éspèrer que les lobbys pétroliers ne viennent pas étouffer cette bouffée d'air...

            

Pour plus d'infos : www.theaircar.com

21 janvier 2008

Dites Ui à l'énergie renouvelable !

logo2

Peu de temps avant l’ouverture du  marché de l’énergie pour les particuliers, deux entrepreneurs Nordistes ont créé une entreprise de commercialisation de l'électricité, tournée vers le respect de l’environnement : Planète Ui.

Cette entreprise met en avant une démarche d’éco-responsabilité, qui nous est chère. Nicolas Milko, le PDG, explique vouloir donner les moyens au consommateur d'être acteur dans le débat écologique et lui permettre de consommer autre chose que de l'électricité nucléaire. Ainsi, Planète UI propose aux particuliers une offre d’électricité verte sur l’ensemble du territoire national et s'engage à insvèstir 20% de ses résultats nets dans la production d'énergie renouvelable. En outre, Planet Ui offre des services originaux qui peuvent permettre de faire baisser sa facture de 10% environ : Electroconso, par exemple, qui certes demande un peu d’attention pour relever son propre compteur tous les mois, mais qui peut faire vraiment prendre conscience de sa consommation. Pour les puristes, il existe meme une option dite de «Kyoto », qui permet de porter à 21% le mix d’énergie à haute valeur environnementale.

Ce qui est avant tout seduisant c'est l’idée même de l’énergie renouvelable. Dans le contexte actuel de dépendances énergetiques et du nucleaire, l’idée de ne dépendre que des ressources naturelles comme l’eau, le vent et la géothermie apparaît comme une évidence. Et, on l'oublie souvent, mais depuis l'ouverture du marché de l'énergie pour les particuliers en juillet 2007, cette évidence vous appartient !

Pour plus d'informations: www.planete-ui.com

6 janvier 2008

Certaines vérités sont bonnes à dire...

veriteEn vous présentant nos voeux pour la nouvelle année, nous vous avions suggéré que vos résolutions pouvaient aussi concerner l'avenir de la Planète. Mais vous diriez : "Comment faire ? Quelles solutions pour agir au quotidien ? ". Alors, que vous soyez sceptique ou convaincu, nous vous proposons vivement de visionner le film documentaire réalisé par David Guggenheim sur le "grand show climatique" d'Al Gore, ancien Vice-président des États-Unis, qui depuis sa défaite à l'élection de 2000, sillonne les États-Unis afin de persuader ses concitoyens de la nécessité et l'urgence de résoudre cette crise environnementale. En plus d'un judicieux exposé sur les vérités scientifiques irréfutables qui fondent son combat, on découvre en parallèle, le portrait intime d'un personnage et de ses engagements peu connus du grand public .
Un point intéressant sur lequel Al Gore met le doigt : nous avions d'anciennes mauvaises habitudes avec d'anciennes technologies, mais aujourd'hui nous conservons nos anciennes mauvaises habitudes avec les nouvelles technologies ; et l'impact n'est pas le même. Il ne serait pas compliqué cependant de prendre de nouvelles habitudes. Au générique, on retrouve d'ailleurs un certain nombre de pratiques qui ne nous coutent pas grand chose et qui pourraient largement améliorer les choses. Par exemple:

  • Privilégiez les transports en commun, le covoiturage, la bicyclette ou la marche
  • Organisez le covoiturage avec vos collègues ou compagnons d'étude
  • Faites réviser votre voiture
  • Vérifiez la pression de vos pneus une fois par semaine
  • Vous changez de voiture? Choisissez un modèle qui consomme moins d'essence
  • Utilisez moins souvent l'avion
  • Changez vos ampoules à incandescence pour des ampoules fluorescentes compactes (CFL)
  • Installez un thermostat programmable
  • Vous renouvelez votre appareillage électrique? Choisissez les modèles les moins gourmands en énergie
  • Limitez votre consommation d'eau chaude
  • Utilisez chaque fois que possible une corde à linge plutôt qu'un sèche-linge
  • Éteignez votre matériel électrique lorsque vous ne l'utilisez pas
  • N'utilisez votre lave-vaisselle que s'il est plein et pressez la touche "Éco"
  • Isolez votre habitat
  • Demandez un "audit énergie" de votre maison
  • Utilisez des sources d'énergie naturelles
  • Consommez de préférence les produits agricoles de votre région
  • Achetez des produits frais plutôt que des surgelés
  • Consommez "bio" aussi souvent que possible
  • Évitez les produits trop emballés
  • Recyclez vos déchets
  • Utilisez du papier recyclé
  • Plantez un arbre
  • BEAUCOUP d'arbres
  • ...

Un autre point qui nous a beaucoup plu dans ce film. Un proverbe d'origine africaine : "When you pray, move your feet".
Et dire qu'Al Gore aurait pu être aujourd'hui Président de la première puissance économique mondiale...

www.criseclimatique.fr

2 janvier 2008

Et si la Planète avait sa place dans vos résolutions 2008...

Toute l'équipe de Kids of Evolution vous présente ses meilleurs voeux pour l'année 2008 !!

Une année, qui à peu de choses près aura la même durée que les années précédentes ou que les suivantes, mais qu' en sera-t-il de la durabilité?
Sans vouloir vous miner complètement le moral en ces périodes festives, sachez que pendant que nous nous aigitions tous à effectuer nos achats de Noël, la Planète a continué de tourner, et pas que dans le bon sens, et a toujours besoin de notre soutien.  Les émissions de C02 restent en perpétuelle croissance et la dernière réunion internationale durant laquelle nos chefs d'Etats étaient censés se pencher sur la question ne s'est pas terminée sur une note très positive, le creuset entre les pays du Nord et du Sud reste béant lorsque l'on sait par exemple que chaque année les économies développées investissent plus dans la recherche et développement pour l'industrie des cosmétiques que dans la solidarité internationale...

Il ne faut pas se laisser abattre pour autant ! Bien au contraire, le mois de janvier reste le temps des réflexions, des choix et des résolutions. Alors, soyons un peu schématiques et considérons le dilemme suivant :
- 2 scénarios se présentent à nous : le réchauffement planétaire et tout ce que cela implique (1) n'existent pas, ou (2) sont bel et bien en train de se produire.
- 2 réponses à ces scénarios sont alors possibles : (a) Agir ou (b) Ne rien faire.
Nous sommes alors faces à 4 résultats possibles:
- 1+a = une dépression économique due aux investissements inutiles
- 1+b = tout va bien
- 2+a = les investissements qui certes ont représenté un certain coût ont fini par payer : (heureusement!) tout va bien.
- 2+b = catastrophes économiques, écologiques, sanitaires, humaines...
Donc, comme nous n'avons aucun moyen de savoir quel scénario est vrai, le seul choix se situe entre a ou b.
Ce choix est en fait  le suivant : si vous aviez face à vous 2 tickets de loteries avec lesquels vous pouvez gagner une situation "tout va bien " dans les deux cas, quel risque choisireriez-vous, la dépression économique ou le chaos ?

Alors en 2008 vous avez envie d'être plutôt a ou b ?

11 décembre 2007

Surfez solidaire !

logo_veosearch

Aujourd’hui nous vous proposons de découvrir un nouveau moteur de recherche, qui se propose d'allier l'utile à l'humanitaire.
www.veosearch.com permet aux internautes d'éffectuer des recherches sur le Web tout en soutenant diffèrents projets humanitaires tournant majoritairement autour du développement durable.

VeoSearch s'est engagé à reverser 50 % des revenues, générés par les publicités affichées sur son site et par le trafic renvoyé aux moteurs partenaires, aux associations et aux ONG qu'il soutient. VeoSearch est en effet un métamoteur qui exploite quatre moteurs de recherche : Google, Yahoo!, Exalead et Ask. Pas d’inquiétude donc a avoir sur la qualité des résultats, qui se basent sur ces sites bien connus. Et vous pourrez, comme sur tout bon moteur, éffectuer en plus de vos recherches web classiques des recherches images, blogs, vidéos ou wikis . 

Les internautes qui éffectuent des recherches sur Veosearch alimentent par defaut une cagnotte globale qui profitera à toutes les associations. Mais pour ceux qui souhaitent allez plus loin, vous avez la possibilité de choisir le ou les projets humanitaires que vous préfèrez soutenir. VeoSearch présente tous les projets soutenus sous forme de vidéos et vous n'avez plus qu'à faire votre sélection. Aujourd'hui, le site affiche plus de 3,8 millions de recherches effectuées pour 17 projets en ligne et 6280€ collectés. 

Au final,Veosearch est un formidable outil pour tous : un moteur de recherche performant qui vous permet de “donner gratuitement”, une solution éfficace pour le calvaire que peut représenter la collecte de dons pour nombre d’associations et ONG, un soutien financier non négligeable pour des projets Développement Durable qui le meritent. Alors, à vos souris !

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